Définition du Survisme :

Vidéo ici

description de l'organisation de la pensée humaine, du pourquoi de nos agissements, dont l'unique point de référence est la survie.


 

Concrètement :

 

On fait toujours ce qui nous semble assurer notre survie,
on ne fait jamais ce qui nous semble ne pas assurer notre survie.

Cette orientation est systématique (même dans les cas d'autodestruction) et plus ou moins consciente.

 

A quoi sert cette approche :

 

A identifier les valeurs dominantes de chaque individu et à décrire les mécaniques psychologiques.
La conscience de ces mécaniques permet ensuite d'éviter les pièges (les manipulations) et les erreurs (incompréhension des agissements ou pensées de "l'autre" ou de ses propres comportements et pensées).

 

Précisions importantes :

 

Définition utilisée du mot survie :
Tout élément survit, c'est à dire
"a une existence qui continue après l'instant T",
tant que rien ne vient détruire cet élément.

 

Une valeur peut "survivre",
(une idée survit lorsqu'elle est en mémoire humaine ou sur un support non vivant comme un livre),
un morceau de glace peut "survivre" sans être "en vie"
(l'élément "morceau de glace" survit tant qu'il n'est pas transformé en vapeur à l'approche d'une étoile, ou broyé physiquement, etc.)
C'est une question d'existence qui continue après l'instant présent.
Ainsi, la survie est un principe qui ne se limite pas au domaine humain, mais est un principe universel.

Mais le survisme ne s'occupe que du traitement de l'information dans le cerveau humain et non de l'organisation de l'univers.

 

Le survisme est scientifique :

 

Les mécaniques décrites par le survisme sont prédictives et reproductibles à l'infini, et permettent ainsi de faire de la psychologie une science exacte, mais il faut en connaître correctement les limites.
Plus de précisions ici.

 

Bien que prédictif, le survisme laisse libre de nos choix :
Ce n'est qu'un moyen de prendre une photo, de décrire avec une extrême précision tous les éléments que l'on prend en compte pour telle ou telle décision (que l'on soit malade ou non), de comprendre les valeurs dominantes du moment. C'est un moyen de comprendre comment nous analysons ce qui nous entoure.

 

Le survisme ne s'occupe pas de morale.

Les notions de "bien", de "mal" sont à la fois des questions de philosophie qui ne regardent que vous et à la fois des questions législatives avec les lois définissant les limites (Bien/Mal) dans une société.

 

Vidéo - Comment s'organise la pensée * ?

 

Comment notre cerveau range-t-il les informations de nos vies (*suivant le survisme) ?